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Durant cette première journée de travail, et suite à une discussion informelle sur l’audiovisuel, la censure et la liberté d’expression, l’échange est orienté vers la comparaison entre la situation en Tunisie avant et après la Révolution en terme de libertés et de droits

Suite à cette première discussion, a été introduit le sujet du panel et le concept de la vidéo qui sera basé sur les expériences et les narratives personnelles de chacun·e.

Dans un troisième temps, une formation en fact-checking a été donnée avec une journaliste de Inkyfada suivie d’une réflexion informelle sur le concept de fake news et de son évolution à travers l’histoire

La journée se termine avec une séance de brainstorming et d’écriture collective qui raconte les expériences de chacun·e en tant que journaliste citoyen·ne et qui creuse les souvenirs d’enfance liés à la dictature 

La journée de travail commence avec une initiation à l’écriture de script, l’exercice est celui de traduire les textes des participant·e·s afin de se préparer au tournage de la vidéo

La deuxième partie de la journée est consacrée à l’initiation à la prise de vue et à la prise de son pour enfin commencer le tournage 

Le début de la journée est consacré à une formation avec Shams Abdi en préparation au panel. Cette formation a pour objet de mettre en évidence l’importance de ce panel qu’est celle de mettre la jeunesse au centre et de présenter les participant·e·s, – âgé·e·s entre 15 et 22 ans, comme expert·e·s en l’usage des réseaux sociaux